Τετάρτη, 16 Νοεμβρίου 2016

Acropole et discours sur la démocratie: Obama à Athènes

Le président américain sortant Barack Obama s'est rendu mercredi sur l'Acropole à Athènes avant de livrer, en forme de testament politique, sa vision de la démocratie à l'heure de la montée du populisme à travers le monde.


Avant son discours, le président américain, qui avait troqué son costume pour un blouson et des lunettes de soleil, était allé prendre une dernière bouffée d'inspiration à l'Acropole.

L'Acropole vidé de ses touristes

Le célèbre site qui surplombe Athènes, pris d'assaut chaque année par des millions de touristes, était - fait rarissime - désert pour l'occasion, à l'exception de la suite du président et des chats qui y résident.

Accompagné d'une guide, M. Obama, dont c'est la première visite en Grèce, a notamment pu découvrir le Parthénon, son plus célèbre temple, construit il y a quelque 2500 ans.

Le dernier voyage à l'étranger du président américain, qui le mènera également en Allemagne et au Pérou, se déroule dans l'ombre de son successeur républicain Donald Trump, dont la personnalité, le goût de la provocation et le manque total d'expérience politique inquiètent.

Pour ce qui devrait être l'un de ses derniers grands discours, Barack Obama, 55 ans, a choisi la Grèce, berceau de la démocratie, et, selon ses termes, "source de tant d'idéaux et de valeurs qui ont aidé à construire l'Amérique".
 [RTBF avec agences]
16/11/16
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1 σχόλιο :

  1. Face aux inégalités, Obama appelle à "un changement de cap"...

    Le président américain Barack Obama a appelé mercredi en Grèce à un "changement de cap" dans la mondialisation afin de réduire les inégalités, grand défi des démocraties modernes.

    Les inégalités criantes, à la fois entre pays et au sein même des pays, nourrissent "un profond sentiment d'injustice", a souligné M. Obama au dernier jour de son voyage à Athènes, après une visite de la majestueuse Acropole, qui surplombe la ville.

    Dans un discours truffé de mots grecs et de références à ce que la Grèce "a donné à l'humanité au cours des âges", le président américain n'a jamais nommé Donald Trump, qui lui succédera le 20 janvier à la Maison Blanche, mais a multiplié les références et les piques indirectes à ce dernier.

    "Comme vous l'avez peut-être remarqué, difficile de faire plus différent que le prochain président américain et moi-même", a-t-il lancé dans un sourire.

    Insistant sur la frustration que pouvait générer le fait de voir "des élites (...) vivre selon des règles différentes, ne pas payer d'impôts, accumuler les richesses", il a souligné combien, par l'intermédiaire du téléphone portable, ces contrastes s'étalaient désormais en pleine lumière.

    L'augmentation des disparités sociales, associée à une meilleure prise de conscience de leur existence même, est "un mélange explosif", a-t-il mis en garde, exhortant à s'assurer que les bénéfices de la mondialisation "soient partagés plus largement et par plus de monde"...............http://www.rtl.be/info/monde/international/face-aux-inegalites-obama-appelle-a-un-changement-de-cap--867173.aspx?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+RTLInternational+%28RTL+info+>++Monde%29

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